Résumé :
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Epoque bleue, traces bleues, éponges bleues. Yves Klein avait bien mérité son surnom d'« Yves le monochrome ». Même s'il a employé bien d'autres couleurs, c'est celle de l'azur qu'il a surtout choisie, qu'il a utilisée à maintes reprises et dont il a fait, plus encore qu'un mode d'expression, une sorte d'énergie spirituelle. Klein a eu l'idée d'utiliser directement les corps nus de ses modèles comme « pinceaux vivants », inventant par ses séances étranges tout un catalogue de formes nouvelles.
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