Résumé :
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Le capitalisme est par essence mortifère en ce quil bride les passions, confine les corps et racornit les esprits. Mais une autre voie souvre à lhumanité pourvu quelle renverse un système aussi vérolé quà à bout de souffle, et quelle se débarrasse de ses mornes profiteurs : gestionnaires, technocrates et autres politicards. Cest ce le philosophe Raoul Vaneigem nomme la lutte pour un retour à la vie, mettant fin « au calcul égoïste et à la servitude qui ont fait de la Terre une vallée de larmes ». Car « la vie ne dit jamais de dernier mot ».
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